
Amis footeux, attachez vos ceintures et sortez vos calculettes, parce qu’un OVNI est en train d’atterrir sur la planète football. Son nom ? Franco Mastantuono, 17 ans , gaucher soyeux, et déjà prêt à faire trembler les défenses européennes comme un Diego Maradona sous Red Bull. Ce gamin de River Plate, c’est le genre de pépite qui te fait scroller Transfermarkt à 3h du mat’ pour checker sa clause libératoire (45 millions d’euros, on y reviendra). Alors, pourquoi tout le monde va s’arracher ce môme l’été prochain ? Décryptage tactico-ludique d’un futur crack qui va mettre le mercato en PLS.
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Franco Mastantuono,un numéro 10 qui sent bon les années 2000
Mastantuono, c’est un numéro 10 old school, mais avec un twist moderne qui te rappelle à la fois Juan Román Riquelme pour la caresse du ballon et Florian Wirtz pour le côté “j’te fais mal en silence”. Ce gosse de 1m77 (1m80 si t’es généreux comme son agent) joue principalement sur l’aile droite, mais attention, on n’est pas sur un pur ailier à la Ángel Di María qui te met des petits ponts à 200 km/h. Non, lui, c’est un meneur excentré, le genre de mec qui repique dans l’axe, te pose une passe laser entre deux défenseurs et te fait dire : “Mais attends, il a quel âge déjà ?”
Ses armes fatales ? Une technique de velours qui te donne des frissons, une vision du jeu à faire rougir Xavi, et un culot qui rappelle le Neymar des débuts à Santos. Par contre, soyons clairs : niveau explosivité, on n’est pas sur Kylian Mbappé qui te grille tout le monde en trois foulées. Franco, il est plus du style “je trottine, je caresse, je dribble, et toi t’es déjà à la buvette en train de chercher un doliprane”. Son point faible ? Un peu de déchet, mais bon, quand t’essaies 15 passements de jambe par match, c’est pas toi qui fais les poubelles, c’est les défenseurs.
Des stats qui crient “achetez-moi, vite !”
Si t’es du genre à kiffer les tableaux Excel autant que les passements de jambe, accroche-toi. Mastantuono, c’est une machine à stats pour un gamin de 2007 (oui, il est né après la finale France-Italie, fais-toi mal). Dans sa catégorie :
- Top 2% en duels offensifs et courses progressives. Traduction : il va chercher les ballons comme Kante, mais avec un brushing argentin.
- Top 4% en dribbles tentés et passes réceptionnées. Ça veut dire qu’il touche plus de ballons qu’un influenceur touche de likes.
- Top 11% en passes décisives attendues (xA). En gros, il met ses attaquants dans des fauteuils en cuir, mais parfois ils préfèrent rater comme Lukaku à l’Euro.
Ses chiffres le rapprochent d’un Khvicha Kvaratskhelia (version PSG, pas le monstre de Naples) ou d’un Wirtz en mode “jeune prodige qui va bientôt coûter 150 patates”. À River, il est déjà le patron du jeu, avec plus de ballons touchés que ton oncle au buffet de mariage. Comparé à un autre crack U17 comme Julio Mora, il est devant… mais si on pondère par le volume de ballons, c’est plus serré. En gros, Mora c’est le mec qui brille en 10 touches, Mastantuono c’est celui qui te fait 50 touches et te sort un récital.
Un physique de guerrier, un mental de diva (parfois)
Physiquement, Mastantuono est prêt pour l’Europe. Il court comme un marathonien, il sprinte à haute intensité, et il a une carrure qui résiste aux bourrins de la Liga argentine. Bon, ok, des fois il se laisse tomber comme Neymar après un courant d’air, mais qui n’aime pas un peu de théâtre dans le foot ? Ce qui claque, c’est son jeu sans ballon.

Contrairement à certains techniciens qui attendent la balle comme un livreur Deliveroo, lui il attaque la profondeur, il se propose dans l’axe, il fait des appels. Bref, il bosse comme un milieu à l’anglaise avec la classe d’un Argentin. Depuis ses débuts pro, il a aussi gagné en agilité, et maintenant il slalome entre les défenseurs comme Lionel Messi dans un match d’entraînement.
Le mercato 2025 : un Hunger Games entre cadors
Avec un contrat jusqu’en 2026 et une clause à 45 millions d’euros, Mastantuono est le genre de joueur qui fait baver les recruteurs. Le PSG est déjà sur le coup, avec Luis Enrique qui voit en lui le futur maestro pour remplacer Verratti (on pleure encore). Le Real Madrid, qui collectionne les pépites sud-américaines comme des cartes Pokémon (Vinícius, Rodrygo, Endrick…), ne va pas lâcher l’affaire. Et l’Atlético de Madrid ? Eux, ils veulent un crack pour leur 4-4-2 bien carré, histoire de faire oublier João Félix. Problème : Franco ne pourra pas débarquer en Europe avant août 2025, quand il aura 18 ans. Du coup, l’été 2025, ça va être un Clash of Titans version mercato.

Et si on rigole un peu ? Imagine Mastantuono au PSG, en train de faire des une-deux avec Dembélé qui oublie de lui rendre le ballon. Ou au Real, où il apprend à Vinícius comment tirer sans viser la tribune. Où qu’il aille, ce gamin va faire des étincelles.
Pourquoi il va tout casser ?
Mastantuono, c’est le cocktail parfait pour un mercato en feu : technique de génie, maturité de vieux briscard, et un potentiel qui te fait rêver d’une carrière à la Özil (mais avec plus de régularité, on espère). À 17 ans, il est déjà prêt à tenir la baraque dans un championnat européen, et son style de jeu crie “je vais briller dans les grands matchs”. Que ce soit au PSG pour mettre des caviars à Barcola, au Real pour apprendre à Bellingham comment faire des passements de jambe, ou à l’Atlético pour courir comme un fou pour Simeone, Franco Mastantuono est LE crack à suivre. L’été 2025 ? Préparez le popcorn, ça va être un show digne d’une finale de Libertadores.