URGENT : Shakira avoue une fraude fiscale !
La star colombienne accepte une amende de 7,3 millions d’euros dans le cadre d’un accord avec le parquet espagnol.
La chanteuse Shakira a mis fin à son procès pour fraude fiscale à Barcelone en reconnaissant sa culpabilité et en acceptant une amende substantielle de 7,3 millions d’euros, selon un accord conclu avec le parquet espagnol.
Lire aussi : Ancelotti : Retournement de situation au Real Madrid !
Shakira : Une Peine de trois Ans avec sursis et une Amende Equivalent à 50% de la fraude
Le tribunal a annoncé que l’accord inclut une peine de trois ans de prison avec sursis, commuée en amende, et une sanction financière équivalant à « 50 % » de la fraude. Cette amende s’élève à plus de 7,3 millions d’euros, selon les informations fournies par le tribunal.
Antécédents de paiements et déclaration de culpabilité
Shakira, arrivée au tribunal vêtue d’un ensemble rose, a reconnu sa culpabilité devant le juge et a accepté les peines infligées. Elle a quitté le tribunal sans faire de déclarations à la presse. La chanteuse avait déjà versé 17,2 millions d’euros au fisc espagnol dans le cadre de cette affaire pour régulariser sa situation.
Déclaration de Shakira sur sa « décision Difficile »
Dans un communiqué de presse transmis par ses avocats, Shakira continue de clamer son innocence. Elle affirme avoir fait ce choix difficile pour protéger sa carrière et ses enfants, évitant ainsi « des années » de procédure judiciaire. Shakira déclare : « Je dois choisir mes batailles, et la plus importante pour moi en ce moment est de faire tout ce que je peux pour que mes enfants vivent une vie pleine et me concentrer sur ce qui est vraiment important : les voir grandir et s’amuser. »
Les accusations de fraude fiscale
Le parquet accusait Shakira de ne pas avoir payé ses impôts en Espagne entre 2012 et 2014, alléguant qu’elle avait vécu plus de cent quatre-vingt-trois jours par an dans le pays, seuil au-delà duquel une personne doit être considérée comme résidente fiscale. Le parquet avait initialement requis une peine de huit ans et deux mois de prison, ainsi qu’une amende de 23,8 millions d’euros.