Crash aérien : Deux avions Rafale de l’armée de l’Air Française en collision

Un drame en plein ciel : Le 14 août 2024, la France a été secouée par une tragédie aérienne impliquant deux avions Rafale de l’armée de l’Air. L’accident s’est produit dans le secteur de Colombey-les-Belles, en Meurthe-et-Moselle. Ce sinistre événement a immédiatement déclenché une réponse d’urgence à grande échelle, avec des opérations de recherche et de sauvetage toujours en cours.

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Une collision dramatique en Meurthe-et-Moselle

L’accident a eu lieu ce mercredi matin, lorsque deux avions de chasse Rafale, appartenant à l’Escadron de Transformation 3/4 « Aquitaine », sont entrés en collision en plein vol. Ces Rafale, des fleurons de l’aéronautique française, sont réputés pour leur polyvalence et leur technologie de pointe. Le crash, survenu dans le secteur de Colombey-les-Belles, a mobilisé instantanément les autorités locales et nationales.

Sébastien Lecornu, ministre des Armées, a rapidement réagi sur X (anciennement Twitter), confirmant que l’accident concernait bien deux Rafale. La préfecture de Meurthe-et-Moselle a, de son côté, activé le centre opérationnel départemental et mis en œuvre le plan SATER (sauvetage aéro-terrestre) pour venir en aide aux forces militaires engagées sur place. Le préfet Françoise Souliman a coordonné les efforts pour assurer une réponse efficace à cette crise.

Opérations de recherche en cours

Le pilote d’un des deux appareils s’est éjecté avant l’impact. Il est sain et sauf. Mais l’instructeur et l’élève pilote qui se trouvaient dans le second étaient toujours portés disparus en début d’après-midi.

Les opérations de recherche des pilotes des Rafale sont menées par un dispositif important, comprenant le groupement de gendarmerie départementale, le service départemental d’incendie et de secours, ainsi que l’office national des forêts. De plus, la fédération nationale des radioamateurs s’est mobilisée pour soutenir les efforts de recherche. Malgré les moyens déployés, les conditions restent difficiles, et l’issue de ces opérations est encore incertaine.